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NOTE D'INTENTION

Un haïku est un poème très court. Dans la tradition japonaise d'origine, il comporte 3 lignes, avec un nombre défini de syllabes : 5 pour la première, 7 pour la seconde et
5 pour la troisième, soit en tout 17 syllabes.

Mais l'écrit étant le règne de la liberté, rien ne vous empêche d'inventer. C'est en tout cas un bon moyen pour commencer à écrire, ouvrir ses chakras ...
et être surpris par ce qui vient sous votre plume !

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Haïku QUOI ?

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Ciel noir

Bonjour, je ne te connais pas

la nuit 

anticipe nos pas

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Microphone

La bise 
Trémolo dans la voix
Adieu,

Inconnu tralala

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Femme à la plage

J'aimerais bien madame

ne jamais vous connaître

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Fines mains de lumière, 
Double fenêtre apprivoisée,

Vous fûtes silencieuses prières qui ne demande qu'à être exaucée 

Dérapé le savon

Sous mon pied,
Je m'envole

Alizée

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Deux complices vaquaient, 

Dans une foule nourrie

de tangueras madrées

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Je danse,

Et le silence qui parle,

te dit.

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Amour poli,

humour à distance aux adeptes servi,

Tu romps 

la solitude à deux

et le dé de nos vies

roule

au casino du monde

Marche ! 
Présente toi au monde
Qui danse 
Et brûle toi 

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Tango

Infini de possibles,
J'improvise avec toi,

le bal rouge de nos vies

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Cours de danse

Tango
infini des possibles

avec toi

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Tango, infini des possibles,

et le vide avec toi

Devient comme la certitude
D'un instant né

vital

Tango de toi 
putain de moi 
Nos ressentis mentent

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Eros et Thanatos

sont des milongueros

à l'abrazo

banalement mortel.

Sans logos ni pathos

Ils dansent

Et connaissent ton silence

Eloquent

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Écouter de la musique

Danser sans musique,
vivre le silence, 
béni

Dés d'Astrologie

Amour trop poli,

Humour à distance aux adeptes servi

Je masse

et goutte

la plénitude à deux

quand le dé de nos vies

Roulait, vif,

au casino du monde

Sunrise

Ramadan de l'amour

Burka noire et tes yeux

verts

Qui m'observent

des coulisses

Feu

Le diable

comme un ennui de l'autre

rode

A chacun de tes pas

sonores

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